@Ogan Fabien de Oxaguiã
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Merci LULA, nous croyons en cette avancée démocratique nationale pour lutter contre l'impérialisme dans l'hémisphère Nord :
"Je pense que c'est une grande avancée démocratique de voter le décret qui tente de légaliser les 4 millions de Brésiliens qui se trouvent hors du pays pour tenter leur chance, car de cette façon je crois que c'est un véritable exile... Sachant qu'ils sont obligés d'inventer toutes sortes de stratagèmes pour ne pas perdre leur nationalité, au cas où ils tenteraient d'obtenir la citoyenneté du pays de résidence (ce qui est encore plus compliqué).
Bien qu'il est nécessaire de préciser que beaucoup de Brésiliens qui se trouvent à l'étranger, en particulier ceux qui y ont leur propre résidence, c'est aussi pour des raisons financières et fiscales liées à la concentration des revenus qui nuit à la classe moyenne et profite aux propriétaires fonciers et aux grands hommes et femmes d'affaires du Brésil, serviteurs mercantiles de la domination du pays et des multinationales étrangères.
Je suis tout à fait d'accord qu'un étranger au Brésil qui a acquis la nationalité brésilienne, perd ce droit national s'il est accusé de l'avoir obtenu pour des raisons frauduleuses, ainsi être aussi accusé d'en tiré le profit pour des intérêts secrets essayant de vouloir bénéficier de son profit.
Ma propre situation est différente, je suis née FRANCO-BRÉSILIEN avec la double nationalité car je suis née au Brésil d'un couple français de nationalité française : partie de ma mère et brésilienne : partie paternelle et brésilienne de deuxième génération du côté de mon grand-père -.
À l'avenir, l'enjeu des relations diplomatiques internationales sera d'harmoniser la grande difficulté politique de ne pas vouloir régulariser les relations bilatérales entre les deux pays - la loi du sol - (toute personne née dans le pays est citoyen, quelle que soit son appartenance ethnique, raciale, culturelle ou de ses origines) et - Loi du sang - (qui est citoyen est quelqu'un qui a 1 ou 2 de ses ancêtres citoyens sur 3 générations voire plus dans certains pays européens).
Ainsi, pouvoir arriver aux États-Unis (USA) sera toujours "l'Eldorado" pour quiconque souhaite migrer dans le pays de l'économie libérale et du capitalisme en passant par certains États fédéraux, même si vous n'aurez jamais la nationalité, vous pourrez à tout moment au moins obtenir le droit fondamental au travail.
Pilier du droit international de la citoyenneté et fondement du droit moderne (Napoléon) sur une vision de la démocratie qui ne s'intègre pas toujours dans les relations culturelles des sociétés et notamment dans les régions historiques qui ont connu des problématiques liées à l'exploitation et à l'esclavage".
- Mestre Fabien, L., & Ana Laura Ajaní -