Voyages

          Nous pensons que lorsque nous sommes retraités ou que nous vivons d’une pension, pouvoir vivre tous les jours sous un cocotier et attendre la brise marine en regardant la mer. C'est une utopie, surtout quand nous avons été retraités pour cause d'invalidité dans une période où nous avons arrêté de travailler pendant au moins quinze ans pour cesser notre activité au plus haut de notre vie professionnelle et au sommet de la productivité de notre revenu.Le travail est la plus grande activité qui organise la vie sociale d'un individu. Plus vous êtes jeune, plus il vous sera facile de vous adapter à votre nouvelle vie, la difficulté demeure de savoir utiliser et gérer tous ce temps vide et occuper une nouvelle place dans la société sans vous précipiter à chercher à gagner votre vie pour subvenir à vos besoins et à construire de nouveaux objectifs. Nous recherchons toujours le moyen pratique et le meilleur possible de gagner décemment notre vie de manière utile pour acquérir une forme de confort matériel, intellectuel ou spirituel grâce au travail. Lorsqu'on est handicapé (être porteur d’une déficience invalidante au travail), c'est une philosophie inversée : comment savoir utiliser son temps de la meilleure façon possible sans dépenser d'argent, sachant que votre salaire sera le même quels que soient nos efforts pour organiser nos activités quotidiennes ?

           Retraité depuis quinze ans et seulement avec cinquante ans, je me demande toujours si mes activités s'exerceront en pleine autonomie ou si elles seront temporaires le temps de trouver à nouveau un moyen complémentaire de gagner ma vie de manière rentable pour survivre ? 
Parce que le travail reste un droit pour tous pour la survie physique et mentale de chacun... La photographie peut être vue justement comme un moyen libre sans déranger personne et qui mérite votre attention car en plus d'être une activité qui répond aussi à des critères esthétiques comme intellectuels avec leur propre mémoire de l'histoire sans effort physique dans une adaptation constante au fil de temps.

 « Mon goût a toujours contribué à créer une activité liée aux Sciences Humaines, m'orientant sur la possibilité d'exercer une activité liée précisément, à la création associative d'une organisation avec l'aide de Facebook qui m'a été fourni, en utilisant les réseaux sociaux pour créer ma propre architecture de mon organisation pour faire connaître mon rôle et ma responsabilité à ma communauté d’appartenance. Sachant que le but n'est pas de gagner de l'argent, mais d'occuper le temps de la meilleure façon possible en essayant de moins dépenser d’argent possible ! ». Fabien L.,

          L'Association - HORTA FATUMBI Comunidade - est née en 2017 à Toulouse avec son WEBSITE-BLOG qui, en plus d'être une association avec un enregistrement officiel du dispositif français associatif, est à la fois un BLOG universitaire et scientifique avec mes publications éditoriales en français & portugais et renforcé par mes publications dans des bases de données universitaires et scientifiques pour réaliser ce rêve de guérison, voulant par mon effort continuer à être actif au-delà de la nécessité d'être en invalidité dans un contexte de handicap car l'effort que vous continuerez à faire tout au long de votre vie au travail, vous garantira le plus longtemps possible une longévité dans le temps et quelle que soit les raisons de votre effort de santé .

 

Credit Photo : Metro Santa Cecilia SP, 12/10/2020

LYCÉE FRANÇAIS PASTEUR  -  SÃO PAULO -  Année 91

RESULTADOS - Fim de Curso - Ano 91

Lorsque l´on arrive à São Paulo, on éprouve d´abord un sentiment d´incrédulité : on se pose en pleine ville, on perçoit des hommes et des femmes sur leurs balcons, occupés comme si rien n´était à des tâches ordinaires alors que, tout autour, une forêt d´immeubles tout en hauteur donne le sentiment de survoler une maquette.

 Comme dirait ma mère Danielle: " Nous irons tous nous fixer à Roquefixade ".
Mon arrière-grand-père s'appelait Lizier Anouilh et il était de famille ariégeoise. Sur quatre générations ma famille est née en Algérie. Avant d'être Brésilien, je suis d'abord descendant de « pied-noir » et j'ai grandi en France. Je dois ma détermination à vouloir vivre à Bahia au fait d'avoir été élevé dans une culture de l’Exil, celle d'avoir été arraché à ma terre de naissance et à la fois avoir été bercé par ma famille maternelle dans le mythe d'une communauté de non-retour.
 

 

 

Fabien ©Côte Méditerranéenne - France - Août/1984

Le professeur demande à l'élève :
- Que préfères-tu, le Brésil ou la France ?
Je pense avoir vécu en France pendant tant d'années que peut-être maintenant je préfère le Brésil.
Mais cela ne cesse de changer, de changer, de changer...
Tout est une question de point de vue, c'est-à-dire que cela dépend vraiment de "l'Essence" des choses.
Donc, cela dépend de ce qu'il y a en moi, et je ne me soucie pas du résultat, ce qui compte pour moi c'est le processus :

- D'OÙ JE VIENS ET OÙ JE VAIS.

Rio Vermelho CP 2102 41950-970 Salvador – Bahia – Brasil +55 (71) 9993 42484 horta.fatumbi.fabi@gmail.com

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